C'EST NOUS
Chez slow bam bino, nous nous engageons à promouvoir une consommation responsable et respectueuse de l’environnement. En proposant des vêtements de seconde main pour les nourrissons et les jeunes enfants, nous offrons non seulement une solution abordable aux parents, mais nous contribuons aussi à réduire les déchets textiles dans notre société. Nous croyons en la seconde main et en le ralentissement de la mode,
pour créer un avenir soutenable pour nos enfants et les générations futures.
L'HISTOIRE
LA MISSION
Cela a commencé un jour dans l’arrière-boutique d’une chaîne de fast fashion. Je travaillais dans l’un de leurs magasins de vêtements et j’ai pu voir ce qui se passait en coulisses. Il y avait des tonnes de plastique, une quantité exorbitante de vêtements produits, non vendus, puis jetés quelque part, dans un lieu inconnu. Tout ce gaspillage, alors que nous faisons face à de grands enjeux climatiques, me semblait profondément révoltant. C’est là que l’idée d’une boutique de seconde main pour enfants a commencé à germer. Une boutique de seconde main pour enfants, visant à être une alternative de qualité, respectueuse du climat, à un prix juste et accessible à tous.
– Tilda, CEO de slow bam bino
Notre objectif est de sensibiliser à la seconde main et à tous ses bienfaits, de ralentir la mode et de réduire les déchets textiles, afin de contribuer à un environnement plus durable.
L’un des moyens les plus durables de s’engager aujourd’hui est de réutiliser et d’acheter d’occasion.
Nous souhaitons également simplifier le quotidien des parents, que ce soit financièrement ou simplement en apportant un coup de main à ceux qui en ont besoin dans leur vie bien remplie.
Nous ne pouvons pas tout faire, mais nous pouvons faire notre part — et voici la nôtre.
INDUSTRIE TEXTILE VS CLIMAT
Quel impact l’industrie textile a-t-elle sur le climat?
On entend souvent dire que la seconde main est bonne pour la planète, mais comment et pourquoi?
FAITS
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Chaque année, 100 milliards de vêtements sont fabriqués, générant plus d’émissions de gaz que l’aviation et le transport maritime réunis.
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La production textile nécessite énormément d’eau, ainsi que des terres pour cultiver le coton et d'autres fibres.
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Pour fabriquer un seul t-shirt en coton, il faut environ 2 700 litres d’eau douce, soit l’équivalent des besoins en eau potable d’une personne pendant 2,5 ans.
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Chaque seconde, un camion-benne rempli de textiles est jeté.
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En 2020, le secteur textile était le troisième plus grand responsable de la dégradation de l’eau et de l’utilisation des sols à l’échelle mondiale.
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Sur les 100 milliards de vêtements produits chaque année, 92 millions de tonnes finissent à la décharge.
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La production mondiale de fibres textiles a presque doublé, passant de 58 millions de tonnes en 2000 à 109 millions de tonnes en 2020.
Sources : Parlement Européen, Agence Européenne
pour L’environnement, Fondation Ellen MacArthur,
Copenhagen Fashion Summit.